Si on parle de cette difficulté, on doit s’exprimer… Et, pour le faire, un
bon point de partie est l’exemple de Madame d’Staël, si est-ce qu’on a lu son
livre De l’Allemagne. Sa vision de la
France, pendant le Romantisme, résulte intéressant parce qu’elle l’observe des
de l’Allemagne ! En France, cette période est postérieure à la Révolution
et ça veut dire qu’il n’existe pas. Après de la grande révolte, les acteurs du
Romantisme devenaient humiliés, morts, ou apartés de la France, comme dans le
cas de Montesquieu. Si on préfère, on peut utiliser la vision de George Sand,
qui pareille à d’Staël, habitait à différents lieux parce que dans son pays la
vie devenait difficile pour la noblesse.
Maintenant, les derniers mouvements sociaux dans l’Europe sont
nationalistes ; et la tendance est la suivante : ils continueront
partout. Dans la France, aussi ! Les nations n’existent pas sans l’Europe
et l’Europe n’existe pas sans les nations. Mais la nation française ne résulte
pas d’un procès romantique, sinon d’un procès révolutionnaire. Les autres
nations sont formées à partir du model de l’état-nation, mais avec différente
intensité et plusieurs patrons. La liaison de cette période avec le moyen âge
est, aussi, une réalité, et la société feudal avait des nobles et des rois.
Dans la France, tout ça finissait avant le 1800. L’état se mêle avec la nation
parce que la nation française est partie de la Révolution et de l’unification
du tiers état.
Le journal Libération aujourd’hui a mis le roi Felipe VI en position
inverse, comme l’image de Felipe V qu’il y a dans Xàtiva. Avant tout ça,
seulement Le Figaro avait de la connaissance sur cette réalité ; un
journal conservateur. Maintenant, la gauche française a commencé avec son
propos de s’adapter au nouvel scénario de l’Europe et on peut penser que cet
effort peut-il provoquer que la France se situe à nouveau avant de sa
Révolution dans quelques ans : oh, mon Dieu !
Cap comentari:
Publica un comentari a l'entrada